Survoler cette mer de bâtiments qui n'en finit plus, puis y atterrir au beau milieu et en deux temps trois mouvements être propulsé dans le bouillon de la capitale, c'est de la pure folie. Les odeurs de pollution, de tortillas, d'égouts et de friture, toutes se mélangent. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, ça fait son charme.
Nous prenons donc un taxi en direction du joli quartier de Coyoacan où vit mon amie Marina et sa mère. Premières impressions, il y a du renouveau dans le parc automobile, les vieilles carcasses se font rares contrairement à ma dernière visite il y a sept ans. Et la présence des forces armées semble s'être renforcée. À chaque coins de rue des militaires ou policiers sont armés jusqu'aux dents. Pour cette première prise de température d'ailleurs, je n'ai pas osé sortir l'appareil photos...
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Chez Marina |
Marina et Paloma, sa mère. |
Nous resterons quatre jours chez elles et Marina sera notre guide dans la capitale. Youhouuuu!
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